est réticente à prendre des décisions sans réassurance.
laisse souvent les autres prendre les décisions importantes pour elle.
a du mal à initier des projets, suit plutôt le mouvement.
N'aime pas se retrouver seule, ou faire des choses seule.
dit toujours oui pour ne pas déplaire.
très touchée et anxieuse si on la critique ou on la désapprouve.
accepte les besognes peu gratifiantes pour se rendre agréable aux autres.
très perturbée par les ruptures.
Renforcez ses initiatives plutôt que ses réussites, aidez-la à banaliser les échecs.
Si elle vous demande conseil, demandez-lui d'abord son point de vue personnel avant de lui répondre.
Parlez-lui de vos faiblesses et de vos doutes, n'hésitez pas à lui demander vous-même des conseils et de l'aide.
Poussez-la à multiplier ses activités.
Faites-lui comprendre que vous pouvez faire des choses sans elle, sans que cela soit un rejet.
Ne prenez pas les décisions à sa place, même si elle vous en fait la demande expresse; ne volez pas à son secours à chaque fois qu'elle est en difficulté.
Ne critiquez pas frontalement ses initiatives, même ratées.
Ne l'abandonnez pas complètement à son sort «pour apprendre à se débrouiller seule».
Ne lui laissez pas payer le prix de sa dépendance (offrir des cadeaux et faire les «sales boulots»).
Ne l'acceptez pas en permanence «dans vos jambes».
Lelord, F. et Christophe, A. (2000). Comment gérer les personnalités difficiles. Paris: Éditions Odile Jacob.